13h53.
Encore en pyjama, sous la couette.
D'espairsRay et the GazettE en boucle.
Je pensais que ma rentrée serait un peu plus joyeuse que ça. Ou alors c'est juste la fatigue du début. Actuellement, j'ai l'impression de rater tout. Je regrette des choses sur lesquelles je ne sais pas mettre de noms, sauf deux. Je regrette de ne pas les avoir près de moi, et je regrette de ne pas avoir assez de courage pour aborder les gens qui m'attirent, dans le sens amical.
Je suis toujours une pauvre adolescente avec son humeur qui monte et qui descend, un coup joyeuse, un coup triste. Mais je ne vais pas me plaindre, ça pourrait être beaucoup plus dur que ça.
J'ai une douloureuse envie de liberté.
Je veux partir, pouvoir aller où bon me semble. Je veux être comme j'ai envie d'être, sans les conventions, la mode, la peur de décevoir ou ne sais-je encore.
Mais il me reste trois ans, et je pourrais faire tout ça. Je pourrais être dans un sens, Libre.
La solitude et la douleur juvénile dont j'étais fier étaient une paire d'ailes pour échapper à mes rêves sans valeur
Si l'on pouvait atteindre la liberté dans ce grand ciel clair il m'importerait peu que ces ailes dont je suis si fier soient arrachées
J'ai commencé à courir, me dirigeant sans relâche vers le ciel.
J'ai commencé à courir, me dirigeant sans relâche vers le ciel.
Je me dis que ce n'est rien d'autre que "Le spleen de l'adolescence", et c'est ce qui est.
Mes actes me font regretter, espérer.
Mes actes me font regretter, espérer.
La musique traduit tellement.
Encore trois semaines et j'aurais 3h30 de bus.
Direction l'Allemagne. 15 jours. En espérant avoir un correspondant sympa. Pas comme celui de l'année dernière, un peu ... Comment dire. Ah oui, pas assez communicatif. xD
15 jours à ne pas avoir les parents sur le dos, le pied. Autant je les adore, autant de temps en temps, être seule, ça fait un bien fou.
J'ai déployé mes ailes et me suis envolé au loin, l'endroit où j'ai atterri était "liberté"
Avec une famille formidable, et des amis formidables, ce furent les plus beaux jours de ma vie, si je renais rencontrons nous à nouveau.
Avec une famille formidable, et des amis formidables, ce furent les plus beaux jours de ma vie, si je renais rencontrons nous à nouveau.
the GazettE - Miseinen
